Une confidence inédite faite par une femme a suscité un véritable engouement sur les réseaux sociaux.
Cette révélation a captivé l’attention des internautes et a rapidement été partagée à grande échelle, provoquant des réactions variées et une vague d’intérêt.
In extenso, l’Ano.
« Salut je voulais à Ano En fait je voulais des conseils Moi et mon mari On a fait trois ans de mariages on a un fils qui a de l’âge de deux ans Mais depuis quelques moments notre relation conjugale a complètement changé et depuis lors on dirait que je ne l’aime plus À chaque fois quand il descend du travail je ne L’accueil pas comme les autres femmes et quand il m’appelle au téléphone j’ai juste envie qu’il raccroche le plus vite possible parce que sama xol dafay bonne sii môme et le pire c’est que j’arrive pas à passer des moments intimes avec lui comme rapport sexuel même si des fois je force à avoir des relations sexuelles avec lui j’ai pas de plaisir je force juste pour ne pas commettre de pêcher Parce que islam interdit et aussi pour lui faire plaisir Mais pour dire vrai je souffre dans mon foyer et ça me fait très très mal j’ai pitié de lui je ne veux pas le voir souffrir Actuellement je suis chez mes parents pour prendre des distances Mais tout ce qui se passe c’est à cause de lui Parce que il ne prends pas soin de moi comme un mari prend soin de sa femme depuis trois ans de mariage j’ai compris qu il n’avait rien mais je l’ai toujours soutenu depuis que mon fils a quatre mois c’est là que j’ai commencé à travailler juste pour l’aider c’est moi qui fait tout c’est moi qui achète des habits des chaussures à manger et tout c’est moi qui le fait jusqu’à maintenant j’arrive plus à me concentrer sur mon avenir à cause de lui j’ai arrêté mes études pour me marier avec lui il m’avait promis qu il aller payer mon école il a rien fait de tout ça Mais tout ça je comprends pas ce qu’il n’a pas d’argent mais ma patience a des limites je l’ai aidé pendant trois ans même pour me donner le dépenses de la maison c’est tout un problème dama lép ba sone Sama salaire bala wére bii dé mou diéx sone n’a dal »