À Mbour, la première sortie du Kankourang a été marquée par des violences. Un enseignant a été agressé à coups de machette devant son domicile, relançant les polémiques sur les débordements liés à cette tradition.
Chaque année, des incidents similaires sont signalés, malgré la dimension protectrice et spirituelle du Kankourang, reconnu par l’UNESCO comme patrimoine immatériel de l’humanité. Cette situation alimente le débat entre la préservation d’un héritage culturel et la nécessité d’assurer la sécurité des citoyens.