Certaines domestiques vivent le calvaire dans les maisons de leurs employeirs. Cette femme en fait partie. Sans décliner son identité, elle exprime sa douleur et ses mauvaises conditions de vie de bonne à tout faire.
« Nous ne sommes pas des esclaves. Etre femme de ménage ne donne pas aux patronnes le droit de nous maltraiter. Figurez-vous que je ne mange non seulement pas à ma faim, mais on ne me pardonne rien du tout… », tonne-t-elle.