« Je l’ai poignardée au cou, la lame s’est cassée et je l’ai étranglée à mort avec un fil électrique »

« Je l’ai poignardée au cou, la lame s’est cassée et je l’ai étranglée à mort avec un fil électrique »

Que ‘est-ce-que les sénégalais ont fait au bon Dieu? En tout cas ce qui se passe dans le pays de la Téranga n’est pas surgi du néant. Il ne se passe pas un jour sans un cas de meurtre. Tuer est devenu banal dans notre société. Alors qu’on n’a pas encore fini d’épiloguer sur les meurtres de Kiné Fall Gaye la gérante du multiservices à Pikine tuée par son collègue et de A. Diop, l’enfant de 5 ans tué par sa tante à Sébikotane, que Ndèye Diop est lâchement tuée par son copain à Touba. Pour ce dernier cas qui défraie la chronique, Libération revient de fond en comble sur les confessions de Abdourahmane Mbacké, le présumé meurtrier de la jeune fille de 15 ans. 

Ndèye Diop, 15 ans, sauvagement assassinée à Touba par son amant Mbacké Mbacké Abdourahmane Mbacké, est décédée suite à une « asphyxie mécanique » après des « coups et blessures provoqués par une arme blanche. » C’est ce que révèle le certificat de genre de mort qui fait état de « cinq plaies pénétrantes » sur le corps sans vie de Ndèye Diop, rapporte le journal dans sa parution du jour.

Abdourahmane Mbacké avoue qu’il s’est saisi d’une pierre avant d’assommer la victime. Puis, il a poignardé sa copine au cou mais la lame du couteau s’est cassée. Ensuite, il a saisi un fil électrique pour l’étranger à mort.

Il a acheté deux sacs dans une boutique pour y mettre la dépouille mortelle qui finira dans un fût en plastique (réservoir d’eau) posé sur la terrasse de son domicile.

La défunte était enceinte de 6 mois. Deux jours plus tard, pris de remord, Abdourahmane Mbacké a révélé le crime à sa famille qui a alerté la police.

Bien que constatant qu’il n’était pas l’auteur de la grossesse de Ndèye Diop, il a reconnu avoir eu, au moins, un rapport avec la victime présumée.

Et l’autopsie a effectivement confirmé que Ndèye Diop traînait une grossesse de six mois. Le présumé meurtrier est visé pour assassinat, c’est-à-dire meurtre avec préméditation.

1 COMMENTAIRES
  • Aliou

    vraimen tout celà reviens à l’état çi nos com genre de meurtres ils mérite pas d’exister dans l société l’ETA doit m’être fin des çà vie ils à tué deux 2 personnes
    à vous l’État ci vous l’avez exequitez 5 personnes seulement il n’y aura plus de meurtres billaye wallahi comn à moi person j’aime m’a famille est j tue là famille d’autrui c’est inacceptable

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