Face à la conjoncture économique difficile, le Groupe Futurs Médias (GFM) a engagé un vaste plan de restructuration. D’après les informations rapportées par Source A, ce dispositif inclut le licenciement d’une partie du personnel pour raisons économiques, ainsi qu’une réduction salariale appliquée depuis le 1er novembre.
Selon le journal, cette baisse des rémunérations varie entre 10 % et 15 %, en fonction du niveau de salaire des employés.
Interrogé sur la question, Mamadou Fall, secrétaire général de la section Synpics de GFM, a vivement réagi. Il déplore une décision unilatérale, prise sans concertation préalable avec les représentants du personnel. « Nous n’avons été ni informés ni associés à ce processus », a-t-il déclaré, annonçant la convocation d’une réunion d’urgence mercredi pour définir la riposte syndicale.
De son côté, Source A indique que toutes ses tentatives de contact avec la Direction des ressources humaines du groupe de presse sont restées sans réponse.
Face à la conjoncture économique difficile, le Groupe Futurs Médias (GFM) a engagé un vaste plan de restructuration. D’après les informations rapportées par Source A, ce dispositif inclut le licenciement d’une partie du personnel pour raisons économiques, ainsi qu’une réduction salariale appliquée depuis le 1er novembre.
Selon le journal, cette baisse des rémunérations varie entre 10 % et 15 %, en fonction du niveau de salaire des employés.
Interrogé sur la question, Mamadou Fall, secrétaire général de la section Synpics de GFM, a vivement réagi. Il déplore une décision unilatérale, prise sans concertation préalable avec les représentants du personnel. « Nous n’avons été ni informés ni associés à ce processus », a-t-il déclaré, annonçant la convocation d’une réunion d’urgence mercredi pour définir la riposte syndicale.
De son côté, Source A indique que toutes ses tentatives de contact avec la Direction des ressources humaines du groupe de presse sont restées sans réponse.