En Gambie, la mort d’une fillette d’un mois, le 10 août 2025, à la suite d’une excision présumée, a suscité une vive émotion et relancé la polémique autour de cette pratique pourtant interdite depuis 2015. La police a indiqué que l’enfant est décédé des suites d’une hémorragie sévère à son arrivée à l’hôpital de Banjul.
Deux femmes ont été arrêtées et une enquête est en cours à Wellingara, où les faits se sont produits. Malgré la loi, l’UNICEF estime que 73 % des Gambiennes âgées de 15 à 49 ans ont subi une mutilation génitale féminine.
Seneweb