La publication de la liste des médias reconnus par le gouvernement du Sénégal semble raviver les débats autour du respect des normes légales par les organes de presse. Les propos de Cheikh Oumar Diagne, ministre conseiller et directeur des moyens généraux de la présidence, ont accentué la controverse. Il a critiqué certains médias qui, selon lui, ne respectent pas les lois en vigueur, malgré leur insistance sur le respect de la légalité dans leurs discours.
Sa publication sur Facebook, où il évoque avec ironie le paradoxe entre les déclarations et les pratiques de ces médias, illustre un climat de tension entre les autorités et une partie de la presse. Cette remarque intervient dans un contexte où la crédibilité et la régularité administrative des médias sont sous le feu des projecteurs, ce qui pourrait impacter leur relation avec les institutions étatiques et leur public.
Il serait intéressant de voir comment les médias incriminés réagiront à ces déclarations et si cela entraînera des ajustements dans leurs démarches administratives ou éditoriales.
