Les services d’hygiène auraient imposé aux vendeurs de café une nouvelle taxe semestrielle de 18 000 F CFA, en plus des 8 000 F CFA déjà versés chaque mois à la mairie. Une mesure jugée soudaine, opaque et difficilement justifiable par les commerçants, qui affirment n’avoir reçu ni réunion préalable, ni notification officielle.
Les vendeurs, déjà confrontés à des conditions de travail précaires, s’interrogent sur la légalité et l’encadrement de cette taxe et réclament davantage de transparence de la part des autorités. Pour l’instant, ni la municipalité ni les services d’hygiène ne se sont expliqués sur cette décision, laissant planer un climat d’incompréhension et appelant à un dialogue urgent pour régulariser leur situation.